Archives de catégorie : Monuments aux morts du XIXème siècle

Bussy en Othe

            Monument commémoratif du village   

                                dans le cimetière 

                                 5 noms inscrits

Remarque

2 soldats natifs de Bussy morts en 1870 n’ont pas été inscrits

Un soldat est inhumé en Allemagne, un autre en Suisse (internement de l’armée Bourbaki)

Photo Jean Paul Blanchard

Brienon sur Armançon

            Situé à l’entrée du cimetière

               Monument cantonal

42 noms inscrits, natifs des communes de Bellechaume, Brienon sur Armançon, Chailley,   Bussy en Othe, Champlost, Esnon, Paroy en Othe, Venizy

Remarques, 11 noms de militaires natifs du canton n’avaient pas été inscrits lors de l’édification du monument. Une plaque nominative a été posée en 2018 Huit sont inhumés en Allemagne, huit autres en Suisse (internement de l’armée Bourbaki)

Photo Jean Paul Blanchard

Auxerre

cimetière saint Amâtre

            52 noms inscrits

Monument commémoratif de la ville d’Auxerre à la mémoire des natifs d’Auxerre et ses environs, morts en 1870-1871

Remarques

Seuls les gardes nationaux Robert Auguste et Rousseau Henri tués au combat de Grandpuits le 21-10-1870, sont inhumés au pied du monument, quatre sont inhumés en Allemagne, deux autres en Suisse (internement de l’armée Bourbaki)  Deux soldats natifs d’Auxerre n’ont pas été inscrits lors de l’édification du monument

Photo Jean Paul Blanchard

Préambule

Liste des communes de l’Yonne qui ont édifié des monuments

 commémoratifs au 19e siècle à la mémoire des soldats morts

  pendant la guerre franco-prussienne de 1870-1871               

Au 19e siècle, trente-trois communes icaunaises* ont décidé d’élever des monuments à la mémoire de leurs soldats morts en 1870-1871

Tous ces monuments ont été édifiés par souscription publique

Quatre sont des monuments cantonaux : Charny, Brienon sur Armançon     Auxerre et Sens

20 monuments sont des pyramides tronquées, La Ferté Loupière et Seignelay sont représentées par des statues de gardes mobiles, la ville de Sens a représenté une allégorie de la république, d’autres communes ont accroché des plaques commémoratives dans leurs mairies  

A Paroy sur Tholon la famille Carré a élevé, au milieu d’un champ, un monument à la mémoire de leur fils Auguste, mort en Suisse (internement de l’armée Bourbaki)

A Passy la famille Pichot a élevé au cimetière une colonne à la mémoire de leurs deux fils Cléomène et Charles

*Liste non exhaustive